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Comme nous l’avons déjà noté, les effets aigus de l’entraînement sont des changements dans l’état des athlètes qui surviennent pendant l’activité physique. Les effets aigus peuvent être mesurés de deux manières:

  • indicateurs de charges d’entraînement (le nombre de répétitions, le kilométrage, le nombre de levées, de combats, de sauts, de lancers, etc.) effectués pour développer des qualités – cibles;
  • variables physiologiques décrivant la réponse des athlètes aux charges de travail effectuées, telles que le lactate sanguin (BL), la fréquence cardiaque (HR), la pression artérielle, la réponse galvanique de la peau (HRC), l’intensité de la charge reçue (HN) – par exemple, selon le Échelle de Borg, modifications de la température corporelle, de l’intensité de la sudation et/ou de la consommation d’oxygène (in vitro).

Le premier groupe d’indicateurs a été largement utilisé pendant des années, en particulier dans les sports mesurables, mais il a également été bien accueilli dans d’autres. Le deuxième groupe nécessite un équipement approprié (par exemple, les cardiofréquencemètres Polar, les moniteurs de lactate sanguin, etc.), qui devient de plus en plus populaire parmi les pratiquants de nombreux sports. La surveillance en ligne de l’état des athlètes offre aux entraîneurs un contrôle plus précis des effets aigus de l’entraînement. Ces technologies avancées facilitent la gestion de l’exercice en fonction de la fréquence cardiaque, de la fréquence cardiaque et du stress émotionnel mesurés par HRK et IR.

Effets aigus mesurés par des indicateurs sportifs spécifiques 

Le contrôle d’indicateurs spécifiques au sport permet aux entraîneurs d’ajuster le rapport dose-réponse et facilite l’obtention de l’effet d’entraînement aigu souhaité. Par exemple, l’enregistrement de votre vitesse de déplacement ou de votre temps de travail est extrêmement important lorsque vous utilisez des exercices de vitesse maximale. La quantité optimale de charge dans un tel entraînement dépend du nombre de répétitions (courses, nage, contractions, etc.) effectuées à une vitesse proche du maximum individuel.

La manière dont les informations spécifiques au sport fournissent l’amplitude optimale de l’effet aigu peut être illustrée par l’exemple de l’ entraînement en endurance . L’effet aigu d’un exercice d’ endurance prolongé peut être contrôlé en contrôlant la vitesse et le rythme moyens du mouvement. Les entraîneurs fixent généralement de manière rigide la vitesse à laquelle les athlètes doivent se déplacer pendant l’exercice. Déterminer le rythme des mouvements en temps réel permet de comprendre plus facilement que l’athlète a une fatigue précoce, tolérable ou excessive, et en utilisant ces données, vous pouvez obtenir l’effet d’entraînement aigu souhaité. Considérons les possibilités de contrôler l’effet d’entraînement aigu en utilisant le rapport entre la vitesse et le tempo des mouvements (TD) (tableau).

Tableau. Effet d’entraînement aigu évalué par la vitesse et le tempo des mouvements (TD) pendant l’entraînement d’endurance

Phase de formation La relation entre la vitesse et l’AP Remarques (modifier)
Durable

Travail

La vitesse et l’AP sont maintenus au même niveau La technique des mouvements est stable. Ce type de travail est adapté à l’entraînement fractionné en termes de durée.
Modérer

fatigue

La vitesse est maintenue au même niveau, et l’AP a légèrement augmenté Un tel travail convient à la durée de l’entraînement en endurance aérobie.
Fatigue importante La vitesse est maintenue au même niveau, et l’AP augmente considérablement Ce type de travail est adapté à la durée d’un entraînement d’endurance anaérobie et d’un entraînement mixte.
Excessif

fatigue

La vitesse diminue et le TD augmente ou diminue Ce genre de travail n’est pas adapté à des fins de formation.

On sait que le travail continu à vitesse constante peut être divisé en quatre phases (Farfel, 1976). La première phase est la plus longue, car pendant celle-ci l’athlète maintient la vitesse prévue et le TD stable, démontrant la technique habituelle des mouvements. Cette phase peut durer une heure ou plus si l’intensité du travail est inférieure au seuil anaérobie , et peut-être 15-40 minutes si l’intensité est au niveau du seuil anaérobie (les marathoniens peuvent maintenir cette intensité plus longtemps). Cependant, lorsque l’intensité de l’exercice dépasse le seuil anaérobie, la durée de cette phase est raccourcie.

La deuxième phase est caractérisée par le maintien de la vitesse à un niveau stable et une augmentation modérée du TD. Dans cette variante, la force appliquée est réduite, mais cela est compensé par une augmentation correspondante de la fréquence des mouvements. La durée de cette phase varie de 30 s à 3 à 5 minutes et dépend de l’intensité de l’exercice. Un tel travail peut être utilisé efficacement dans des exercices pour le développement de l’endurance aérobie. Dans ce cas, les athlètes approchent du niveau du seuil anaérobie, stimulant ainsi une augmentation de la «vitesse aérobie».

La troisième phase est caractérisée par le maintien de la vitesse, qui est assuré par une augmentation nette et excessive du TD. Une telle réaction indique une forte diminution de la force appliquée, compensée par une fréquence de mouvements plus élevée et souvent par une détérioration de la technique. Habituellement, cette phase conduit à une forte activation du métabolisme anaérobie, ainsi qu’à l’accumulation de lactate sanguin. Sa durée varie généralement de 30 à 60 s. Cette phase est indésirable lors de l’exécution de charges d’entraînement pour le développement de l’endurance aérobie, car elle active le métabolisme anaérobie et a un effet néfaste sur le résultat du travail aérobie précédent. Cependant, il peut être utilisé dans les exercices aérobies-anaérobies, dans lesquels l’augmentation finale du lactate sanguin peut être souhaitée et planifiée.

La quatrième phase correspond à l’incapacité de l’athlète à maintenir la vitesse initiale malgré le plus grand effort. Une augmentation de TD indique d’autres tentatives pour empêcher une diminution de la vitesse, et une diminution de TD indique un échec de telles tentatives. Cette phase de fatigue excessive ne doit pas être autorisée ; en règle générale, il devrait être totalement exclu de l’entraînement et de la pratique compétitive.

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