L’analyse de l’entraînement pratique d’athlètes hautement qualifiés permet de distinguer deux approches principales de la régulation de la charge d’entraînement dans le cadre de séances d’entraînement consécutives et/ou de journées d’entraînement:
- une planification rigoureuse, dans laquelle l’entraîneur exige l’exécution littérale d’un programme préalablement prescrit, malgré d’éventuelles circonstances imprévues et une réaction défavorable des athlètes ; et
- planification flexible, dans laquelle le programme des entraînements suivants peut être modifié en fonction des résultats des précédents.
Les partisans de la première approcheessayer de rendre le processus de formation plus déterministe. Ils croient qu’une préparation réussie nécessite de faire face aux effets négatifs du travail précédent (tels que la fatigue excessive, les douleurs musculaires et les ralentissements émotionnels). Cette opinion est en partie étayée par les résultats d’études menées sur des athlètes d’élite exceptionnels ; Ces résultats permettent le développement d’habiletés athlétiques, ce qui (au cours de l’entraînement de routine et même de la compétition) crée des distractions et des événements inattendus. Johns et. Al. (2002) ont montré que les athlètes d’élite très performants parviennent à élever le seuil de douleur physique et émotionnelle tout en maintenant leurs performances.
On peut supposer que ces capacités individuelles doivent être développées et soutenues par une pratique de formation appropriée. Cependant, les conséquences négatives possibles d’une approche dure sont également évidentes. Les athlètes font souvent de l’exercice jusqu’au surmenage malgré la fatigue et la douleur musculaires, ce qui peut entraîner une surestimation, un surentraînement et même des blessures. Une étude portant sur un grand nombre d’athlètes de niveau universitaire a révélé que 29 % d’entre eux utilisent des analgésiques dans le cadre de leurs performances sportives. Le danger potentiel de cette approche est évident: masquant la douleur (un éventuel signal d’alarme), elle pousse l’athlète à franchir le seuil d’adaptation admissible et peut provoquer de graves modifications pathologiques. Cependant, les conséquences négatives possibles d’une approche dure sont également évidentes.
Les athlètes s’entraînent souvent jusqu’au surmenage malgré la fatigue et la douleur musculaires, ce qui peut entraîner une surestimation, un surentraînement et même des blessures. Une étude portant sur un grand nombre d’athlètes de niveau universitaire a révélé que 29 % d’entre eux utilisent des analgésiques dans le cadre de leurs performances sportives. Le danger potentiel de cette approche est évident: masquant la douleur (un éventuel signal d’alarme), elle pousse l’athlète à franchir le seuil d’adaptation admissible et peut provoquer de graves modifications pathologiques. Cependant, les conséquences négatives possibles d’une approche dure sont également évidentes. Les athlètes s’entraînent souvent jusqu’au surmenage malgré la fatigue et la douleur musculaires, ce qui peut entraîner une surestimation, un surentraînement et même des blessures.
Une étude portant sur un grand nombre d’athlètes de niveau universitaire a révélé que 29 % d’entre eux utilisent des analgésiques dans le cadre de leurs performances sportives. Le danger potentiel de cette approche est évident: masquant la douleur (un éventuel signal d’alarme), elle pousse l’athlète à franchir le seuil d’adaptation admissible et peut provoquer de graves modifications pathologiques. surentraînement et même des blessures. Une étude portant sur un grand nombre d’athlètes de niveau universitaire a révélé que 29 % d’entre eux utilisent des analgésiques dans le cadre de leurs performances sportives.
Le danger potentiel de cette approche est évident : masquant la douleur (un éventuel signal d’alarme), elle pousse l’athlète à franchir le seuil d’adaptation admissible et peut provoquer de graves modifications pathologiques. surentraînement et même des blessures.
Une étude portant sur un grand nombre d’athlètes de niveau universitaire a révélé que 29 % d’entre eux utilisent des analgésiques dans le cadre de leurs performances sportives. Le danger potentiel de cette approche est évident: masquant la douleur (un éventuel signal d’alarme), elle pousse l’athlète à franchir le seuil d’adaptation admissible et peut provoquer de graves modifications pathologiques.
Deuxième approche nécessite des observations, et le formateur utilise leurs résultats pour décider de poursuivre le programme prévu ou d’y apporter des modifications raisonnables. Les avantages potentiels de cette approche incluent une accumulation plus contrôlée de la fatigue, la prévention de la surestimation des capacités de l’athlète et une dose d’exercice plus précise et différenciée individuellement. Cependant, la mise en œuvre de cette approche nécessite des efforts supplémentaires de la part du formateur pour enregistrer et analyser les données. En effet, de telles manipulations avec des charges permettent aux entraîneurs d’activer leur créativité, cependant, il/elle peut être sévèrement limité dans le temps en raison d’un calendrier d’entraînement serré et du manque d’outils nécessaires lorsqu’il travaille avec un grand groupe d’athlètes sans assistants.
Ainsi, les effets directs de l’entraînement incluent des changements multiformes et multiformes dans l’état du corps de l’athlète; ces changements affectent leur préparation et leur sensibilité à la charge actuelle et, en conséquence, déterminent la planification à court terme du processus de formation.
L’évaluation pédagogique du coaching est la dernière de la liste, mais ce n’est pas le facteur le moins important pour évaluer l’effet direct de la formation.